les films qu'on a vus.

gonzo a écrit:A l'occasion du festival du cinema Québécois un film de bonbecs , la pré-adolescence et ses fabulations dans "1981" vaudrait une virée sur paname , ou alors j'attendrai que ce réalisateur trouve enfin un distributeur Français , le Québec c'est l'avenir , vivement qu'il détrône les 'ricains même pour des films
gros publics-gros budgets , car eux sont fiers sans en avoir l'air . P'tain de caribou va' ...

Girlafraid a écrit:
Pas vu non plus l'adaptation des particules élémentaires... ça doit pas être facile à adapter au ciné. Il y a tellement peu d'action dans ce livre. De ce que je m'en souviens (je l'ai lu quand j'avais 18 ans) il y a juste des pages et des pages de "considérations houellebecquiennes"...

Girlafraid a écrit:yo yo,

Girlie dans les bacs à linge !
Dans l'ordre...Pas vu la route encore, même si ça me tente. Au risque d'en choquer certains et de passer pour une putain d'analphabète (Grindy, tu peux te passer des blagues désagréables qui me feront passer pour une débile inculte qui achète la culture au rayon prix verts de la FNAc, merci d'avance). J'ai acheté "la route", j'ai commencé à le lire et je n'ai pas du tout accroché au style... j'ai rebroussé chemin très vite. Peut-être devrais-je retenter ! Mais j'avoue de pas avoir du tout eu envie de continuer. Bref, le film a l'air vraiment bien. Et puis bon Viggo, voilà quoi. Même clochardisé j'aime. Mais je le préfère en guerrier du monde du milieu amoureux d'une nelfe !!!

Pas vu non plus l'adaptation des particules élémentaires... ça doit pas être facile à adapter au ciné. Il y a tellement peu d'action dans ce livre. De ce que je m'en souviens (je l'ai lu quand j'avais 18 ans) il y a juste des pages et des pages de "considérations houellebecquiennes"...

Pour revenir à l'adaptation d'un bouquin. Je suis d'accord et pas d'accord avec Grindy. Adapter un bouquin, c'est le rendre compatible avec des formats, des situations réelles. Et donc l'écriture se heurte à la barrière de la réalité, des moyens... L'on est donc obligé de revoir à la baisse ou de faire rentrer le film dans les contraintes de la réalité.

En même temps, l'écriture d'un livre donne aussi toute latitude quant à la façon d'interpréter et de mettre en scène le tout. Et donc là pour le coup c'est vraiment un adaptation du bouquin à l'imaginaire du réalisateur. Non ?

Donc une adaptation est possible mais dans les limites matérielles du monde réel...encore qu'elles s'effacent chaque jour grâce aux effets spéciaux et autres possibilités du cinoche.

Bref, je ne rentre pas un débat, c'est pas le but (OK, grindy ??) je dis juste ce que j'en pense là maintenant.

Ce weekend, vu In the Loop. Drôle, excessivement drôle et bien dialogué mais un peu reulou au bout d'un moment.

Pour dire un mot sur les critiques. Ils ne m'intéressent que lorsqu'ils apportent des choses factuelles et intéressantes sur un film (ex ce plan là coince le personnage entre deux personnes, ou on oublie que le réal à ce moment là de sa vie...). J'aime quand ils donnent des pistes pas quand ils jugent et condamnent (ex cet ahuri de Bégeaudeau dans le cercle sur Canal +, je pourrais le poignarder tout en l'insultant...). C'est comme le foot, pourquoi ils s'enflamment comme ça ? C'est pas eux qui ont fait le film et on se marrerait certainement bien s'ils en faisaient un...

Risingboy a écrit:Qu'un seul tienne et les autres suivront.
Pas mal. 3 histoires qui vont tourner autour de la prison. Un jeune idealiste, un mec un peu paumé et une femme ayant perdu son fils.
On devine assez vite comment tout ça va se terminer mais ça reste plaisant

Téhéran sans autorisation
documentaire sur la ville iranienne. Loin des integristes, la vie des jeunes de la ville tentant tant bien que mal de s'amuser. Certains plaisirs banals ici sont intolerables la bas.
Si ça se trouve en Iran, le petit Nicolas est un film subversif !

Em' a écrit:

matthieu_de_tatapoum a écrit:Chaque film de Tarantino est attendu pour moi comme le messie, après le jouissif Boulevard de la mort, Tarantino nous propose sa vision de la seconde guerre mondiale, avec son style bien à lui, attention âmes sensibles accrochez vous......
Le film est divisé en quatre ou cinq chapitres, comme à son habitude il y a de longues scènes bavardes, et comme à l'accoutumé elles ne sont jamais lassantes. Tantôt hilarantes, tantôt triste ou choquante, les dialogues sont percutants, une tension palpable règne à chaque instant, cette tension ne cesse de monter au fil des minutes pour atteindre un dénouement explosif.
La performance de Brad Pitt n’est pas mémorable et Mélanie Laurent quand à elle est décevante, elle surjoue, ce sont les seuls points négatifs d’Inglourious Basterds.
Par contre c’est Christoph Waltz dans son rôle de nazi impitoyable qui crève l’écran.
Mes scènes préférées : la scène du bar (tension énorme), la première scène (insoutenable, haletante), et le moment ou les Basterds se font passés pour des italiens

Le film dure 2h30, mais je ne l’ai pas vu passé ! Des répliques déjà culte, vous l'avez comprit j'ai ADORE à voir absolument..........

Maitre Tarantino ........chapeau bas.

j'y allais donc un peu à reculon et au final j'ai passé un très bon moment!
même si le film est un peu long (certaines scènes auraient pu être enlevées pour donner davantage de rythme au film, par ex je pense à toute la scène inutile avec mélanie laurent qui se prépare sur fond de david Bowie, la scène avec Mike Myer qui expose le plan Kino n'est pas bonne non plus, pas drôle, longuette et inutile)
toutes les scènes avec Christoph Waltz sont un régal en effet, un vrai plaisir de cinéma au sens où on attend ces scènes avec lui tout au long du film, son personnage de Nazie est absolument génial, un prédateur toujours souriant et aux manières raffinées, d'habitude dans ce genre de film on nous montre juste un nazi nigaud et qui gueule tout le temps,
alors en face, et payé certainement des dizaines de fois plus quand on y pense, un B PITT certes amusant avec son accent du fin fond des US mais complètement écrasé par le personnage de WAltz en face de lui, c'est frappant dans une scène finale quand ils sont en face l'un de l'autre à une table et que WAtlz déroule son plan, Pitt fait ses mines en face mais ça fait pas le poids du tout
d'accord avec MAtthieu pour les meilleures séquences (quand même y'a que Tarantino pour imaginer une partie de "qui est qui" dans un bar truffé de nazis, il a un sens de l'absurde et de la dérision incroyable), j'ajouterai aussi le face à face au resto avec mélanie laurent, Waltz a une façon hilarante d'engoufrer son gâteau à la crème, p.... là encore on est scotché par l'acteur!! et puis quelle tension aussi dans cette scène avec le final avec un gros plan sur son visage!!
la première scène est géniale, cet art de faire monter la tension par un dialogue (les dialogues sont supers dans cette scènes), un gros plan fixe sur un visage à la sergio leone, et la façon dont la caméra descend de la table pour découvrir la famille cachée sous le plancher, ça démarre brillamment donc forcemment Tarantino nous embarque d'entrée de jeu dans son histoire
ce qui est génial c'est que ce film est lui aussi, comme tous les films de Tarantino, truffé de références cinématographiques, Tarantino donne une lecture de cette époque à travers le prisme du cinéma, ce sont les films de propagandes allemandes et une salle de cinéma qui seront les instruments de l'attentat contre Hitler.
pour conclure j'ai été encore scotchée par le talent de Tarantino, les séquences géniales excusent largement les faiblesses du film!!!

ramoldane a écrit:...que j'aime en plus de wong kar wai

kissability a écrit:

ramoldane a écrit:...que j'aime en plus de wong kar wai

Ramol', le grand sensible

ramoldane a écrit:

Romantique au sens profond du terme vieux cochon

Le romantisme s'esquisse par la revendication des poètes du « je » et du « moi », qui veulent faire connaître leurs expériences personnelles et faire cesser cet aspect fictif attribué aux poèmes et aux romans. Le romantisme se caractérise par une volonté d'explorer toutes les possibilités de l'art afin d'exprimer les extases et les tourments du cœur et de l'âme : il est ainsi une réaction du sentiment contre la raison, exaltant le mystère et le fantastique et cherchant l'évasion et le ravissement dans le rêve, le morbide et le sublime, l'exotisme et le passé. Idéal ou cauchemar d'une sensibilité passionnée et mélancolique,

kissability a écrit:

ramoldane a écrit:

Romantique au sens profond du terme vieux cochon

Le romantisme s'esquisse par la revendication des poètes du « je » et du « moi », qui veulent faire connaître leurs expériences personnelles et faire cesser cet aspect fictif attribué aux poèmes et aux romans. Le romantisme se caractérise par une volonté d'explorer toutes les possibilités de l'art afin d'exprimer les extases et les tourments du cœur et de l'âme : il est ainsi une réaction du sentiment contre la raison, exaltant le mystère et le fantastique et cherchant l'évasion et le ravissement dans le rêve, le morbide et le sublime, l'exotisme et le passé. Idéal ou cauchemar d'une sensibilité passionnée et mélancolique,

A l'hôtel, je prends toujours la chambre 2046.

ramoldane a écrit:

kissability a écrit:

ramoldane a écrit:

Romantique au sens profond du terme vieux cochon

Le romantisme s'esquisse par la revendication des poètes du « je » et du « moi », qui veulent faire connaître leurs expériences personnelles et faire cesser cet aspect fictif attribué aux poèmes et aux romans. Le romantisme se caractérise par une volonté d'explorer toutes les possibilités de l'art afin d'exprimer les extases et les tourments du cœur et de l'âme : il est ainsi une réaction du sentiment contre la raison, exaltant le mystère et le fantastique et cherchant l'évasion et le ravissement dans le rêve, le morbide et le sublime, l'exotisme et le passé. Idéal ou cauchemar d'une sensibilité passionnée et mélancolique,

A l'hôtel, je prends toujours la chambre 2046.

T'as pas aimé ce superbe film ? pfff t'aurais préféré la chambre aux 2046 vierges délurées?

kissability a écrit:

ramoldane a écrit:

kissability a écrit:

ramoldane a écrit:

Romantique au sens profond du terme vieux cochon

Le romantisme s'esquisse par la revendication des poètes du « je » et du « moi », qui veulent faire connaître leurs expériences personnelles et faire cesser cet aspect fictif attribué aux poèmes et aux romans. Le romantisme se caractérise par une volonté d'explorer toutes les possibilités de l'art afin d'exprimer les extases et les tourments du cœur et de l'âme : il est ainsi une réaction du sentiment contre la raison, exaltant le mystère et le fantastique et cherchant l'évasion et le ravissement dans le rêve, le morbide et le sublime, l'exotisme et le passé. Idéal ou cauchemar d'une sensibilité passionnée et mélancolique,

A l'hôtel, je prends toujours la chambre 2046.

T'as pas aimé ce superbe film ? pfff t'aurais préféré la chambre aux 2046 vierges délurées?

si, si mon Ramol', In The Mood et 2046 ce sont deux expériences de cinéma qui m'auront marqué, une sorte d'immersion dans un rêve où se mélange mélancolie, beauté, sentiments et romantisme. magnifique. mais je ne pensais pas que t'aimais ces films...

kissability a écrit:

ramoldane a écrit:

kissability a écrit:

ramoldane a écrit:

Romantique au sens profond du terme vieux cochon

Le romantisme s'esquisse par la revendication des poètes du « je » et du « moi », qui veulent faire connaître leurs expériences personnelles et faire cesser cet aspect fictif attribué aux poèmes et aux romans. Le romantisme se caractérise par une volonté d'explorer toutes les possibilités de l'art afin d'exprimer les extases et les tourments du cœur et de l'âme : il est ainsi une réaction du sentiment contre la raison, exaltant le mystère et le fantastique et cherchant l'évasion et le ravissement dans le rêve, le morbide et le sublime, l'exotisme et le passé. Idéal ou cauchemar d'une sensibilité passionnée et mélancolique,

A l'hôtel, je prends toujours la chambre 2046.

T'as pas aimé ce superbe film ? pfff t'aurais préféré la chambre aux 2046 vierges délurées?

si, si mon Ramol', In The Mood et 2046 ce sont deux expériences de cinéma qui m'auront marqué, une sorte d'immersion dans un rêve où se mélange mélancolie, beauté, sentiments et romantisme. magnifique. mais je ne pensais pas que t'aimais ces films...

Risingboy a écrit:In the mood et 2046 je trouve ça super chiant mais je reconnais les qualites de HKW
Sur le cinema asiatique il y a vraiment de tout. The Host par exemple j'avais trouvé ça bien. Dans les films de Woo y a des trucs sublimes.

Risingboy a écrit:

Si non j'ai vu Avatar
bof, c'est assez beau mais alors on voit tout arrivé avant que ça se produise. C'est d'un classique. Je vais faire ami ami avec les bonhomme bleu pour aider ma race à avoir ce qu'ielle veut mais voilà que je trouve qu'ils sont super et evidemment je tombe amoureux et pis les humains se rendent compte de ma trahison...
Le enième trip ecolo avec ça. J'y suis allé sans a priori. J'ai rien contre J Cameron et ce genre de film un coup de temps en temps au ciné mais franchement c'est assez faible même si la fin se laisse regarder.

Risingboy a écrit:par rapport aux films d'Emmerich, de Michael Bay et ce genre de chose, on peut dire que c'est pas plus mal foutu. Mais par rapport a sa moyenne à lui, je dirais que c'est un peu en dessous. Je parle de l'histoire. Je juge pas les effets speciaux.